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. | Sujet: Bringhton Azael [exorciste] Ven 6 Mai - 23:14 | |
| NOM PRENOM IdentityCard nom: Bringhton prénom: Azael âge: 29 ans race: Humain groupe: exorciste métier: exorciste, cependant plus qu'un métier il s'agit plus d'une vocation. pierre: rouge, vous l'aurez compris, je traque donc les vampires Yourmind Caractères: Comme dis plus bas Azael est tout d'abbord quelqu'un d'extrêmement hautain, il est conscient du milieu d'où il provient et a toujours été élevé, non dans le mépris, mais dans la supériorité de son rang. Il a par conséquent un caractère qui découle directement de cette éducation. Bien qu'il ne fut pas dressé dans la haine des prolétaires, Azael ne les apprécies pas du tout, ils sont toujours à réclamer et se plaindre, à espérer une vie meilleur et un rang plus important, ces pleutres ne réalisent rien et ne comprennent pas même le sens du mot noble et ne prennent pas en compte les sacrifice qu'implique une telle vie, loin de se plaindre de sa condition cependant il ne rechignera jamais à nouer quelques lien avec le « peuple » mais méfiez vous tout de même, au fil du temps Azael à développer de mauvais réflexes... Notre homme, bien que porté sur les bienséances en apparence agit tout autrement, loin des règles de vie qui régissent la conduite des nobles, l'homme se plait à s'entourer de jeune femmes, mariées ou pas d'ailleurs. Et bien qu'il respecte les principes il ne peut s'empêcher de s'empourprer dans la luxure. Point de son caractère qu'on lui reproche d'ailleurs souvent. Si le bel-âtre aime jouer les joli cœur c'est surement pour flatter son égo. Azael est par ailleurs un homme très joueur, n'imaginez pas qu'il se limites aux cartes ou aux paris, non, non, monsieur aime aussi jouer avec le genre humain. L'étude des caractères et des comportement étant son sujet favoris il s'accommode des réactions et des idées de son entourage, les détournant souvent contre eux-même, on peut donc le qualifier de manipulateur. Peut-être est ce un fond de sadisme qui pousse l'homme à agir ainsi. Mais ce n'est pas simplement un « fond » mais toutes la profondeur de son âme qui se plait à tant à brouiller les pensées de ses semblables. Loin de manier cet art à la perfection, il ne torture pas il se contente de manipuler les choix de ces camarades ou adversaires pour les retourner à son profit. N'allait pas vous imaginer qu'il n'est que mauvais, non, à coté de cela Azael est un homme tout à fait sociable, il aime s'entourer de personnes, plus particulièrement d'intellectuels ou de personne qui partage le même point de vue que lui, à savoir la haine des créatures. Peut être trop familier, il se plait à se lier d'amitié avec quelques privilégiés qu'il choisit lui même avec précaution. Cette envi d'être entouré se déchire souvent avec un sentiment totalement opposé, qu'est l'isolement, si Azael aime être accompagné il chérie aussi le calme que lui procure l'isolation et la qualité de vie qu'il en tire. On peut le résumer en un homme lunatique qui cache cependant quelques qualités.
Physique : Comment définir Azael? Eh bien commençons par le commencement voulez-vous? L'exorciste est grand, peut être même plus que ces camarades, ses un mètre quatre-vingt s'accordant parfaitement avec son regard et son expression hautaine, faciès quasi permanente sur le visage d'Azael . Eh puis tiens parlons en de son visage ! Ses traits fins se courbent méchamment au niveau de sa mâchoire formant des angles masculin propre au sexe fort. Ses lèvres, deux morceaux de chaire finement ciselés, sont à peines plus rosées que sa peau clair, la découpe de son visage et l'air grave et parfois sévère qu'aborde l'homme rappelle tout à fait la physionomie des statues des empereur romain. Ses yeux, deux calot nacrés percés de deux ovales chatoyant pareil à la couleur d'une rivière comme celle que flatte le regard vide du dormeur du val. Caressant les paupière du bel âtre, quelques mèches blondes, la couleur et fraiche et brillante. Sous le soleil froid de Londres la chevelure prend alors des reflets dorés semblable au fil de la belle Ariane, ses cheveux viennent se reposer dans son dos. Cette crinière d'un blond irréel est la plus part du temps, pour ne pas dire en permanence, nouée en tresse ou bien attaché grâce à n ruban, donnant à notre chère exorciste une allure d'un siècle précèdent. Cependant si le visage est bien fait, le corps et lui, loin d'être repoussant, couvert de plaies certaines plus anciennes que d'autre semble comme gravées dans la chaire. Cependant Azael ne s'en plaint pas, on dit que ça plait au fille ce genre de chose! Et tant que nous abordons le sujet, pourquoi ne pas parler de sa carrure? Comme vous avez pu l'imaginer, l'homme s'entretient, on est pas exorciste en étant aussi fin qu'un fil, cela Azael l'a bien compris. Sa silhouette élancé et finement travaillée sans pour autant ressembler à ces hommes invincibles que l'on voit dans les cirques. Malgré sa chevelure d'androgyne Azael ne cultive aucune ressemble avec le sexe opposé.
Qu'en est-il alors de sa tenue vestimentaire ? Il semblerait que Azael soit très à cheval sur les convenances si bien qu'il est toujours tiré à quatre épingles et n'allait pas voir là une quelconque coquetterie de sa part, il s'en fait simplement un devoir : les chemises aux cols droits, les lavallières et les longues vestes de velours sont son quotidien. Bien qu'il lui arrive parfois de revêtir des couleur sobre notre exorciste à tout de même une préférence pour les tissus bleuté, tirant sur le vert. Vous le trouverez le plus souvent habillé d'un pantalon gris à pince retenu par des bretelle sombre, une chemise au col relevé recouverte d'un gilet des mieux taillé, au tissus mélangeant le noir et les imprimé vert de bleu. Le cou lui est sévèrement encadré par une cravate ou une lavallière dont la couleur rappelle celle des motif du veston. Ajouté à cela une veste cintré sombre ou bien coloré tout cela dépendant bien entendu des occasions et des situation. Vous ne verrez donc que très rarement azael négligé, peut être lors de ces entrainement d'escrime ou il revêt là traditionnel tenu de ce sport ou bien une chemise bouffante retenue dans un pantalon près du corps. À sa hanche est toujours fièrement attaché une rapière fondue dans de l'argent. La garde de l'arme fondu dans ce même métal précieux est creusée d'une telle façon que les reliefs produits nous donne l'image de feuilles d'acanthe, sur le pommeau et incrusté une pierre rougeâtre semblable à un rubis. Le manche de l'épée est lui même frappée de l'écusson de la royauté Anglaise. Onceuponatime
Je suis né, il y a déjà 29 ans de cela dans une campagne Londonienne, un 10 mai 1859 exactement. Si la saison était clémente le soir ou je suis né relevé de la tempête, le bruit fracassant des éclairs qui s'abattait sur les arbres de la propriété était comme des échos aux plaintes de ma mère. Ma mise au monde fut des plus douloureuses, avant d'être né j'étais déjà une source de problème. Mon père Samael Bringhton, qui s'efforçait d'assister ma mère comme il le pouvait durant ces instants douloureux, eut le privilège de prendre pour la première fois le nouveau né que j'étais dans ces bras, ma mère, elle, plus que ravie, laissa cependant aux nourrices le soin de subvenir à mes besoin. On m'avait nommé Azael,le nom d'un ange déchu. La tradition voulait dans notre famille, que tous les garçons nouveaux-nés prennent le nom d'un ange déchu, la chose était singulière quand on voyait à quel point ma famille était pieuse. Bref, il était prévu que je deviendrais un exorciste, tout comme mon père. Notre famille avait deux spécialités: la traque des démons et des vampires, mon oncle s'occuperait de mon apprentissage. On avait déjà tout choisi pour moi, et c'est durant toute ma jeunesse que je tenterais de me défère de ce destin qu'on m'avait imposé.
La vie au manoir était monotone, j'étais un enfant assez agité et les contraintes que m'imposaient mes parents n'allait pas de paire avec mon caractère. Ma mère, s'évertuait à m'enseigner une éducation pieuse, dans le plus pur esprit de la tradition chrétienne. Le dimanche je devais ainsi me plier aux règles de ma mère qui insistait pour n'emmener voir les prêches de notre paroisse. Et vous n'êtes pas sans savoir que forcer un enfant à s'assoir, se lever, réciter des prière comme un bon chien n'est pas sans conséquences. Après avoir récité nombre de cantique, en latin s'il vous plait, nous quittions la chapelle pour regagner notre domaine sous le regard réprobateur de mon père qui s'opposait à toute ces niaiseries religieuses. De là je passais au mains de mon oncle et de mon père qui s'évertuer à m'enseigner les différences sciences de notre siècle, c'était là ce que j'appréciais le plus bien que je rechignais souvent à me mettre à l'œuvre. Je me pliais cependant sous l'autorité de mes professeurs. J'apprenais vite et retenez à peut près tout ce qu'il y avait à savoir sur les « enfants de la nuit », ces êtres affreux qui attendaient patiemment l'impuissance de l'homme pour l'attaquer, j'avais toujours été éduqué selon ces principes: religion et haine des créatures et ma foi je ne m'en suis pas trop mal sorti! Mais comme vous le savez il est un temps où les enfant passe la plupart de leur temps à se divertir qu'à apprendre sérieusement, j'étais de ceux-là. Alors qu'on me poussait vers les études je préférais les aventures en nature avec une petit bande de jeune garçon qui eux aussi étaient promis à un futur d'exorciste. Je me rappelle parfaitement les punitions de mes parents à cette époque lorsque je m'absentais et croyais moi ce n'était pas des plus plaisant. À 7 ans mon emploi du temps se chargeait un peu plus, mon oncle, un savant exorciste, tentais tant bien que mal mais avec une douceur extrême de m'inculquer les base de son métier. Fier comme un coq je m'appliquais à chacune de ses leçon, c'est à cette époque que je commençais à développer une passion dévorante pour l'escrime au grand dam de ma mère : mon oncle n'avait jamais été reconnu pour sa vertu c'était plutôt tout le contraire, c'était un jeune homme belliqueux à cette époque, il était aussi connu pour son succès auprès des femmes, et il soutenait des cause improbable comme celle de Darwin et de son évolution -je comprend très bien maintenant l'influence que ce bon vieil oncle à eu sur moi- autant dire qu'il était l'opposé de ma mère. Mais la rage qu'hardemment feu ma mère vouait à mon oncle et tuteur prenait une toute autre naissance. Mes parents était alors fraichement marié quand ma mère fauta avec mon oncle, chose que ce dernier lui reprochait souvent entre deux soupir dans les draps conjugaux....C'est sans savoir pourquoi, à cette époque que ma mère décidait de m'éloigner de lui. On m'envoya donc dans un monastère à l'âge de 10, oh rude vie que celle-la ! Il faut se lever à trois heures faire ses prières, tout se fait dans un silence glaçant, après une dur journée d'apprentissage il faut encore faire des prières vespérale...Faut-il vous préciser qu'à cette époque j'avais une sainte-oh comme ce mot est ironique- horreur de la religion? Si bien qu'à mes 13 ans je m'échappais du sordide endroit pour retrouver le manoir, je ne vous raconte pas l'accueille.
Après cet incident, ma mère qui avait bien compris mon aversion pour ce mode d'éducation me mit sous le joug de nombreux tuteurs dont un que je redoutais plus que tout, ce dernier avait remplacer mon oncle en tant que mettre d'arme, il m'enseigna tout les moyen possible et imaginable de tuer une créature en particulier les vampire, cet illustre monsieur avait pour nom Richelieu et je le craignais comme la peste, ce n'est que bien plus tard que je reverrais cette homme pour toute les chose qu'il a pu m'apporter. Je restais cependant sous la bienveillance de mon oncle et de mon père.
Nous passons maintenant à l'âge compliqué, l'adolescence, qu'est ce que j'ai pu être turbulent à cette époque de ma vie, remarque j'en garde encore quelques séquelles. Ma passion pour la gente féminine était débordante et je découchais souvent, trop souvent d'ailleurs. À 16 ans je refusais catégoriquement la futur épouse encore une fois choisie par mes parents, sous les yeux effarés du père. A vrai dire j'avais une sainte horreur, à présent, de tout ce qui était planifié, de tous les ordres, de toutes les restriction, je ne craignais plus le lois et surtout pas celles de mes parents. Je m'émancipais et cela n'était pas plus mal.
L'année de mes 18 ans, je le crois bien, fut la plus funeste des années de ma courte vie, je travaillais déjà pour la reine à l'époque, mes camarades de jeux d'il y a bien longtemps s'égrainaient au vent, entendais par cette euphémisme qu'ils trépassèrent tous. De là ma haine envers les nosferatus s'accrut, cette année là je déplorais aussi la mort de mon pauvre père, emporté par la maladie. Je regrettais profondément mon enfance à la campagne, la douceur des bras de mon premier amour, mes puériles occupation et le silence parfois oppressant du manoir. Tout semblait bien sombre, même l'été était chargé de lourd nuages noirs. Je fréquentais de plus en plus les fumeries londonienne qui m'offraient l'espoir d'entrevoir le calme parfait, c'est peut être à cette époque que je développer des idées morbides, et une grande fascination pour la dame en noir, mais qui est cette magnifique jeune femme vous vous le demandez? Simplement une allégorie de la mort crée par mes soins, cette charmante demoiselle je l'entrevoyait durant mes rêves bleutés elle était pour moi la représentation de l'ultime sommeil, un calme auquel j'aspirais profondément à cette époque. Si bien, que dans un pur moment de bêtise profonde je m'entaillais profondément les poignets, aspirant au calme parfait, la pipe à opium était doucement reposait à coté de moi crachant sa fumée mortelle. Quelle froideur son étreintes avait, l'odeur de cadavre filtrait le léger tissus noirci de sa robe, sa chevelure ébène se transformais en les plumes effrayantes d'un corbeau. Ce n'est que le lendemain que je me reveillais sous les yeux humide de ma mère, le regard sévère de mon oncle. Mais la personne qui attira le plus mon attention fut la silhouette qui se tenait au bout de mon lit, contre le mur, sa pupille inhumainement brillante me fixait avec une attention toute particulière, son regard était l'emprunte d'une abyssale déception, Richelieu était là et son regard me fit prendre conscience de la stupidité de mes actes, actes qui était en partie dirigée par la drogue que j'avais avalé. A présent je suis un exorciste accompli, je n'ai revu ni mon oncle ni ma mère qui doit être morte depuis longtemps ainsi que mon mentor dont le regard blafard doit encore brillait d'intelligence sous les lourdes paupière fripées, je donnerais presque tout pour revoir cette homme mais je n'espère pas trop, je suis à présent un exorciste accomplie et droit, seule tâche au tableau? Je me suis épris d'une femme plus qu'intriguante, dont le parfum plus enivrant que la dame en noir, me vaut d'être son amant, et bien qu'y a-t-il de mal à cela je vous le demande? C'est que la demoiselle aussi ravissante qu'elle soit est une sorcière et cela n'est que très peu pardonnable dans notre métier.
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